Comment Greenspector contribue au bien commun ?

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Comment Greenspector contribue au bien commun ?

Cette question est légitime, comment Greenspector participe au bien commun ?
Voyez par vous-même les actions que nous entreprenons.

Contribuer à réduire l’impact de nos clients

Chez Greenspector, notre mission est d’aider nos clients à réduire l’impact environnemental de leurs services numériques. Nous y travaillons chaque jour, et ce, de façon à compenser nos propres impacts. Pour ancrer cette démarche, nous avons inscrit ceci dans nos statuts et sommes une entreprise à mission. 

Sensibilisation à l’impact du numérique

La réduction de l’impact du numérique passe par une prise de conscience de tous les acteurs du secteur. La sensibilisation d’un maximum d’acteurs permet aussi d’accélérer le mouvement. 
Pour cela nous participons régulièrement à des interventions dans les écoles ou dans le cadre de meetups, conférences ou Brown Bag Lunch, pour présenter le sujet à tous les profils du numérique (PO, designer…).   

Nous tenons plus particulièrement à sensibiliser les futurs acteurs via des cours dans les écoles. C’est pourquoi, il y a plusieurs années, nous avons co-fondé un des premiers concours d’écoconception, le Green Code Lab Challenge qui s’adressait en priorité aux étudiants des écoles de l’enseignement supérieur. 

Nous avons aussi choisi de sensibiliser via des articles sur notre blog et des groupes de travail ou associations comme le Green Code Lab et le Green Lab Center.

Améliorer les méthodologies du secteur

Nous participons aussi au bien commun en partageant une partie de notre R&D.
A travers cette action, nous souhaitons améliorer la maturité du secteur et professionnaliser le domaine de la mesure.   
Notre partage se fait aussi en intégrant différents acteurs dans les réflexions sur notre méthodologie.  
Pour cela, nous faisons partie du groupe de travail de l’AFNOR, le groupe d’experts sur l’éco-conception des services numériques de ISO/IEC, nous publions aussi notre méthodologie pour plus de transparence.  

Nous réalisons des études publiques notamment de benchmarks de solutions ou de mesure d’applications. Ainsi, nous mettons en lumière les facteurs d’émission de certains usages.
Exemple 1 : L’impact de nos usages en visioconférence
Exemple 2 : L’impact d’une heure de visualisation Netflix

Identifier et diffuser des bonnes pratiques de sobriété

La mesure des applications et sites web de nos clients nous amène à identifier et préconiser des bonnes pratiques. Nous contribuons et utilisons les référentiels existants (GR491, RGESN, 115 bonnes pratiques d’écoconception web, Designers Ethiques). De plus, notre expérience (notamment via la mesure) nous permet d’appuyer ces recommandations sur des retours concrets, voire d’explorer de nouvelles pistes. Nous les partageons bien sûr avec nos clients et les intégrons dans nos référentiels, dans nos sensibilisations et nos articles de blog.  

Fournir un outil de mesure pour les organismes à but non lucratif ainsi que des scientifiques

Nous pouvons mettre à disposition l’outil pour certaines structures spéciales (associations à but non lucratives ou certains projets scientifiques (VU Amsterdam))
Dans ce cadre, nous avons la stratégie de fournir des versions plus limitées de l’outil mais gratuites. C’est le but, entre autres, de notre outil Mobile Efficiency Index.

Repenser la gouvernance de l’entreprise et sa place dans le bien commun

Toutes ces contributions au bien commun se font dans un contexte de réflexion et d’action pour améliorer la place de l’entreprise dans le bien commun : transparence financière et stratégique vis-à-vis des employés, intégration dans l’actionnariat… L’entreprise comme bien commun privé.

Participer à des publications extérieures

Hebdomadairement, du temps est alloué à chaque collaborateur pour effectuer de la veille ou participer à des projets extérieurs en rapport avec les missions de Greenspector.   

C’est ainsi que nous avons pu contribuer au Web Almanach 2022 avec l’introduction du chapitre Sustainability.

Nous participons également à un groupe de travail du W3C visant à produire des recommandations sur la sobriété numérique appliquée au web.

Et l’ouverture du code source ?

Nous avons fait le choix, à la création de Greenspector, de ne pas ouvrir notre code source. En tant qu’éditeur innovant, notre code source est issu de plusieurs années de R&D. Avec les talents qui composent nos équipes, c’est notre principal atout. C’est sa valorisation à travers nos ventes de licences qui permet de financer toutes les actions mentionnées ci-dessus et cela depuis toutes ces années . Sans cela notre activité ne serait ni durable, ni viable, notre contribution au bien commun serait donc bien plus limitée. 
Le logiciel dont le code n’est pas open-source n’est pas “privateur” en lui-même, c’est la façon dont on l’utilise et le gère qui va amener une privation des droits et une non-participation au bien commun. 

Notre positionnement n’est pas le seul existant, cependant, nous pensons que la diversité des approches permettra de contribuer à résoudre la problématique environnementale en cours.   

Il existe en effet de nombreuses façon de participer au bien commun, nous tentons d’y travailler, de façon concrète, transparente, tous les jours et nous sommes fiers de notre approche et de ses résultats.