GREENSPECTOR, lauréat « CleanTech Open France » 2017 dans la catégorie Digital & IoT

Reading Time: 2 minutes

La société GREENSPECTOR remporte le prix « CleanTech Open France » dans la catégorie Digital & IoT

Le CleanTech Open, fondé par Ecosys Group anime l’écosystème français et européen des cleantech pour accélérer la mise en marché et l’industrialisation des solutions contribuant au changement climatique. Chaque année est organisé un concours, destiné aux startups et PME éco-innovantes afin de faire rayonner les meilleures startups françaises dans le domaine des cleantech.

Après avoir présenté le projet de notre solution d’efficience des services numériques en mobilité, dans le cadre d’une demi-finale puis d’une finale à Paris devant un jury composé d’experts techniques et d’investisseurs, le projet de développement intégrant la solution GREENSPECTOR a été déclarée lauréate de cette édition.

Thierry LEBOUCQ, Président de GREENSPECTOR :
Notre solution GREENSPECTOR répond à la fois à des enjeux écologiques des entreprises qui développent des services numériques mais aussi et, c’est cela que nous avons mis en lumière, à des enjeux économiques forts. La réduction de la consommation de ressources notamment pour des services en mobilité répond à un gain d’autonomie et de durée de vie des batteries de smartphones : allonger la durée de vie d’un parc mobiles de 1 an représente une économie substantielle pour des flottes de plusieurs milliers de devices. De manière plus globale, une service numérique mobile plus frugal apportera une meilleure réponse en terme de performance d’usage dans des conditions d’environnement contraint (un réseau de moins bonne qualité, un appareil moins puissant, un accès complexe à une ressource électrique). Des entreprises qui éditent des services et contenus Grands publics commencent à se rapprocher de GREENSPECTOR car elles cherchent à s’outiller pour garantir une moindre consommation d’énergie pour que leurs applis ne soient pas notifiées par les fabricants, pour proposer un service performant mais aussi pour des raisons de référencement de leur contenu selon les algorithmes de Google.
Ce prix récompense le passage d’un projet de R&D de notre solution, lui aussi déjà récompensé, à la concrétisation de son intérêt sur le marché depuis un peu plus de 2 ans. Il consolide notre positionnement d’un numérique éco-responsable, pour lequel le levier de la « défense écologique », ne doit pas rester le seul enjeu pour les entreprises. Il montre aussi que nous avons franchi un cap et que nous sommes prêts désormais à déployer largement la solution dans des offres partenaires et en mode SaaS.

Rencontrons-nous au Lab d’Innovation d’Orange à Viva Technology 2018

Reading Time: 2 minutes

GREENSPECTOR sera présent à Viva Technology 2018 le 24 mai prochain, au sein du Lab Innovation d’Orange.

Nous sommes fiers d’avoir été sélectionnés par Orange, partenaire de l’évènement. Avec plus de 80 000 participants, 8 000 startups et 103 pays représentés, Viva Technology est le rendez-vous incontournable de l’innovation digitale pour les startups et investisseurs. Le Lab Orange fait partie de l’ADN de l’évènement, c’est un lieu d’échange, d’innovation et de rendez-vous entre les industries et les startups. Une opportunité pour nous de présenter notre solution d’efficience des applications web, mobiles et IoT et ses bénéfices en termes de performance, d’autonomie des appareils et d’expérience utilisateur.

Thierry LEBOUCQ, Président de GREENSPECTOR
Après avoir remporté le prix Orange Award au Mobile World Congress 18, c’est une fierté d’être à nouveau choisi par Orange pour représenter la dimension « efficience énergétique » des services numériques lors de cette seconde édition de VivaTech. Plusieurs collaborations ont permis aux équipes de travailler ensemble sur des projet mobiles et IoT. Une collaboration en R&D a permis en 2015-2016 notamment de décrire un guide méthodologique sur l’Analyse Cycle de vie des logiciels basé sur un cas d’utilisation dans le smartHome. Depuis, notre travail partenarial s’est concentré sur des projets mobile à forte valeur business. Intégrer le contrôle et l’amélioration des consommation de ressources dans les projets devient un avantage concurrentiel pour Orange. Et en intégrant cette dimension et Greenspector dans son outillage,… Orange passe au Vert !

Retrouvez-nous sur place (Stand J09-047) le Jeudi 24 Mai, nous répondrons à toutes vos questions. Contactez-nous dès maintenant pour planifier un rendez-vous.

Comment analyser le comportement de mon smartphone avec Battery Historian ?

Reading Time: 3 minutes

Chez GREENSPECTOR, nos équipes R&D travaillent depuis plusieurs années sur la mesure d’énergie des smartphones. Plusieurs années de recherche et innovation qui nous permettent aujourd’hui de proposer un produit unique permettant de mesurer simplement les données d’énergie des smartphones. Il existe néanmoins des outils qui permettent de compléter l’analyse du comportement de la batterie et du téléphone. Battery Historian en fait partie.

Battery Historian est un outil développé par Google, lancé en 2016, qui permet d’analyser le comportement d’un téléphone et plus exactement d’examiner les informations et évènements liés à la batterie. Il s’agit, nous le verrons, d’un outil d’analyse pour expert. Plusieurs métriques et insights sont disponibles : cellules radio, communication… tout cela corrélé au niveau de batterie.

Tutoriel d’usage de Battery Historian

1) Dans un premier temps, installez Docker. Docker est un logiciel libre qui automatise le déploiement d’applications dans des conteneurs logiciels. Pour ma part, je suis sur Ubuntu donc j’utilise les scripts d’installation rapide :

curl -fsSL get.docker.com -o get-docker.sh
sudo sh get-docker.sh

2) Depuis votre interface de ligne de commande, lancez l’image Docker :

docker run -d -p 9999:9999 bhaavan/battery-historian

3) Vous pouvez désormais accéder à Battery Historian depuis l’adresse localhost:9999

Vous devez maintenant récupérer les informations détaillées du système de votre téléphone. Pour cela, vous devez avoir préalablement installé le SDK Android et être passé en mode développeur sur votre téléphone.

4) Branchez votre téléphone en USB à votre PC.

5) Depuis votre interface de ligne de commande, récupérez le fichier d’information système du téléphone avec la commande suivante :

adb bugreport bugreport.zip

6) Vous pouvez désormais uploader le fichier bugreport.txt dans Battery Historian

Vous obtiendrez alors votre analyse :

Vous pouvez observer le niveau de batterie sur l’axe de droite (de 0 à 100%), ce niveau est représenté par la courbe noire. Sur l’axe de gauche et les autres lignes, vous trouverez toutes les autres informations sur les métriques et insights remontés par le système.

En dessous de ce graph, vous retrouverez des statistiques de toutes les informations sur des applications spécifiques ou informations système de votre téléphone. Vous permettant une vision d’ensemble de ce qui se passe avec votre device. Vous pourrez par exemple analyser l’impact d’une application particulière sur la batterie au cours de l’usage :

Notre avis sur Battery historian

Battery Historian est un outil puissant qui vous permet d’analyser le comportement de la batterie et surtout comprendre ce qui se passe dans le système. Mais c’est aussi un outil complexe. Il y a énormément d’informations et il devient vite casse-tête de trouver les causes de la décharge. De plus, l’outil étant basé sur le niveau de batterie, il est nécessaire de laisser tourner un certain temps l’application que vous souhaitez analyser. Il s’agit donc d’un outil utile pour une analyse détaillée du système mais à mettre dans des mains expertes.

Comment les applications ont tué ma batterie ?

Reading Time: 4 minutes

L’obsolescence de nos appareils mobiles (PC, smartphones mais aussi objets connectés) est un phénomène maintenant connu, préoccupant et dont beaucoup de personnes font l’expérience. Mais analysons ensemble le « pourquoi » de cette obsolescence. Nous avons une réponse simple pour vous : la forte sollicitation de la batterie.

Les batteries de nos appareils mobiles sont principalement basées sur des technologies lithium-ion. La chimie de ses batteries amène à une certaine durée de vie. Cette durée de vie est difficile à prédire; les paramètres influant sur cette dernière étant nombreux : cycle de charge/recharge, température, sollicitation… Les constructeurs annoncent 1000 cycles avant la fin de vie de la batterie. A 500 cycles, la capacité de la batterie a déjà diminué de 20%. Compte-tenu des rechargements journaliers de nos smartphones, on peut estimer à environ 3 ans la durée de vie de la batterie. Or il est possible de ressentir une perte de capacité plus importante avant cette durée, et avoir envie de changer la batterie, voire même le smartphone avant. D’où une forte cause d’obsolescence.

Ce phénomène ne serait pas aussi grave s’il n’avait qu’un impact économique. Il est cependant non-négligeable du point de vue écologique. Les smartphones et principalement les batteries ont un fort impact environnemental, surtout dû à leur fabrication. 85% de leur impact en équivalent C02 provient en effet de la phase de fabrication

Et l’usage du téléphone dans tout cela ?

Les cycles de recharge et de décharge du téléphone sont dépendants de l’usage que vous faites de votre téléphone. Pas uniquement du nombre et de la durée de vos appels: les smartphones étant devenus nos auxiliaires de vie, toutes les applications et services qui vont tourner sur votre téléphone vont avoir une part de consommation.


Une des solutions est de modifier les usages et comportements :

  • Écouter de la musique audio et pas via les applications vidéos telles que Youtube
  • Pré-charger vos itinéraires Google Map en mobilité
  • Couper certaines interfaces réseaux quand vous n’en avez pas le besoin
  • Passer en mode avion la nuit
  • Couper les notifications des réseaux sociaux (en plus c’est bon pour une cure de detox numérique)

Et les applications ?

Vous l’aurez compris : la consommation d’énergie est partout. Et toutes les applications n’ont pas la même consommation pour le même usage. Si l’application utilise beaucoup de ressources : CPU, GPU, cellule radio… alors l’énergie consommée augmentera aussi. Cela impactera directement la batterie qui se déchargera plus vite, les cycles de recharge/décharge seront par conséquent plus fréquents.

Il est donc nécessaire de choisir la bonne application. Comment ? Il n’existe malheureusement pas de label ou de mesure. Les constructeurs comme Huawei, Samsung ou bien les systèmes d’exploitation comme Android notifient maintenant les applications consommatrices qui drainent la batterie de votre téléphone. Vous pouvez donc agir en sélectionnant une application moins consommatrice.

En attendant, vous pouvez identifier les applications consommatrices en vous rendant dans les paramètres de votre téléphone. Sur la plupart des appareils mobiles, se trouve un onglet Batterie ou Options d’alimentation (disponible depuis les paramètres). Ce dernier une fois ouvert, vous donne accès à l’utilisation de la batterie sous le nom Economie d’énergie ou Consommation des applications suivant les modèles. Vous y trouverez les applications les plus consommatrices.

Effet mémoire dû aux applications ?

L’effet mémoire est le phénomène qui est déclenché quand la batterie est trop déchargée : vous perdez de la capacité batterie. Ce phénomène n’existe pas tel quel pour les nouvelles batteries. En effet, il apparaissait plutôt pour les technologies d’ancienne génération (Ni-MH par exemple). Par contre vous avez peut-être déjà observé un phénomène : la batterie de votre smartphone n’est pas vide mais est à un niveau bas (entre 10 et 20%), vous lancez une action sur le téléphone (généralement une action ou une application assez lourde comme par exemple un système de cartographie avec GPS) et le smartphone indique rapidement que le niveau est très bas et il s’éteint même automatiquement. Vous attendez quelques secondes et rallumez votre téléphone. Le niveau de batterie n’est plus à 0 mais à un niveau plus élevé.

Ceci est dû à un phénomène de déséquilibrage des cellules du lithium-ion. Si l’appareil effectue un gros appel de tension (car il a besoin de beaucoup de ressources) il va avoir un déséquilibrage. Si la batterie n’a plus beaucoup de capacité, cela va rendre certaines cellules inutilisables, la capacité totale de la batterie va donc diminuer.

Il est essentiel que l’application non seulement ne consomme pas beaucoup d’énergie dans le temps (ce qui va créer une décharge classique) mais ne demande pas non plus trop d’énergie à un instant T. Et c’est malheureusement le cas de certaines applications : consommation GPS avec envoi de données en parallèle, traitements lourds en même temps que la réception de données des serveurs…

Mon app fait chauffer le téléphone

Effet indirect des applications sur la durée de vie des batteries : si l’application consomme beaucoup de ressources, certains composants comme le CPU ou le GPU vont chauffer. Compte tenu de la taille réduite des smartphones, la batterie va aussi chauffer. Et comme le comportement chimique de la batterie se dégrade avec l’augmentation de la température, la durée de vie va également diminuer.

Conclusion ?

Plusieurs événements ont dernièrement fait parler des batteries : vous vous rappelez sûrement des cas d’explosions des batteries Galaxy Note 7, ou encore du ralentissement des iPhones par Apple… La miniaturisation des appareils couplée à l’augmentation de l’usage des services numériques amène à solliciter de plus en plus certains composants. La batterie fait partie de ces composants. Au-delà d’un désagrément d’usage (nécessité de recharger le téléphone régulièrement), l’impact environnemental du remplacement des batteries est fort. D’autant plus que certains constructeurs ne permettent pas leur remplacement, ce qui augmente le coût environnemental en remplaçant le smartphone.

Améliorer les usages et les comportements est une piste mais traiter le problème à la source est la solution que les utilisateurs de Greenspector ont choisi : Diminuer la consommation d’énergie des applications pour améliorer l’expérience utilisateur tout en limitant l’impact environnemental due à l’obsolescence.

Lancer la mesure de consommation d’une application depuis votre PIC / usine logicielle

Reading Time: 2 minutes

Quelques indications sont nécessaires pour bien commencer une mesure de l’énergie et de ressource avec GREENSPECTOR. Trois notions sont à prendre en compte : où va être exécuter les tests (OÙ), quels sont les tests que je vais exécuter (QUOI) et comment je vais exécuter ces tests (COMMENT).

Plusieurs moyens de lancer les tests (COMMENT) sont possibles :

  • L’interface Web GREENSPECTOR
  • La ligne de commande avec le Testrunner
  • La ligne de commande avec le CLI
  • Manuellement avec le Free Runner Test
  • Le plugin Jenkins

Mesurer la consommation d’une application depuis votre PIC / usine logicielle

Une fois GREENSPECTOR intégré dans vos tests automatisés, il est possible de les lancer sur un banc de test Greenspector via un plugin Jenkins ou via le CLI installé sur votre PIC.

1) Si cela n’est pas déjà fait, installez le CLI (Voir le tutoriel « Benchmarker une application sur le Power Test Cloud« )

2) Ouvrez une ligne de commande à la racine du projet UIAutomator (Effectuez les actions 1 à 7 du précédent tutoriel « Benchmarker une application sur le Power Test Cloud« )

3) Envoyez les tests sur le cloud via la commande suivante :

gspt tb ct --apkFiles app/build/outputs/apk/app-debug-androidTest.apk --apkFiles app/build/outputs/apk/app-debug.apk --testPackages com.greenspector.sample.UIautomator --monitoredPackage com.android.chrome

4) Le job peut être suivi dans l’interface GREENSPECTOR comme dans le tutoriel « Benchmarker une application sur le Power Test Cloud« )

Remarque: Le principe de ce lancement s’applique dans le plugin Jenkins

Découvrez nos autres tutoriels :

Mesurer la consommation de ressources d’une application via des tests automatisés

Reading Time: 2 minutes

Quelques indications sont nécessaires pour bien commencer une mesure de l’énergie et de ressource avec GREENSPECTOR. Trois notions sont à prendre en compte : où va être exécuter les tests (OÙ), quels sont les tests que je vais exécuter (QUOI) et comment je vais exécuter ces tests (COMMENT).

Plusieurs moyens de lancer les tests (COMMENT) sont possibles :

  • L’interface Web GREENSPECTOR
  • La ligne de commande avec le Testrunner
  • La ligne de commande avec le CLI
  • Manuellement avec le Free Runner Test
  • Le plugin Jenkins

Mesurer la consommation de ressources d’une application via des tests automatisés

Afin de mieux caractériser la consommation d’une application, vous pouvez intégrer l’API GREENSPECTOR dans vos tests automatisés. Vous pourrez exécuter ces tests depuis votre environnement habituel (Android Studio) ou à l’aide du Test Runner GREENSPECTOR sur votre téléphone local. Par la suite, vous pourrez utiliser ces tests sur le Power Test Cloud.

1) Téléchargez l’API Android GREENSPECTOR (Meter API Android) sur la liste des modules ainsi que les exemples.

2) Installez la librairie AAR dans votre répertoire Maven :

mvn install:install-file
-Dfile=greenspector-probe-android-[version].aar
-DgroupId=com.greenspector.probe.android
-DartifactId=greenspector-probe-android
-Dversion=[version]
-Dpackaging=aar

3) Décompressez les exemples

4) Ouvrez le projet UIAutomator dans Android Studio

5) Ouvrez le fichier GreenspectorUIAutomator.java et éditez les informations suivantes :

{{% note %}}

  • APPLICATION : Même nom que celle configurée dans l’interface GREENSPECTOR;
  • VERSION : Même version que celle configurée dans l’interface GREENSPECTOR;
  • URL : URL de votre instance « https://my-instance.greenspector.com/api« ;
  • PRIVATETOKEN : Votre token trouvé dans vos préférences depuis votre interface GREENSPECTOR;
    {{% /note %}}

6) Connectez votre téléphone au même réseau Wifi que votre plateforme

7) Dans une interface CLI ,tapez la commande suivante :

adb tcpip 5555

8) Débranchez le câble et recherchez l’adresse IP de votre smartphone dans les paramètres.

9) Connectez-vous aux téléphones avec la commande suivante :

adb connect [IP]

10) Cliquez droit sur la classe GreenspectorUIAutomator et lancez le test (Run…).

Le test se lance sur votre mobile, vous retrouverez les résultats de vos mesures au sein de votre interface GREENSPECTOR.


Découvrez nos autres tutoriels :

Explorer manuellement une application avec le Free Runner Test

Reading Time: 3 minutes

Quelques indications sont nécessaires pour bien commencer une mesure de l’énergie et de ressource avec GREENSPECTOR. Trois notions sont à prendre en compte : où va être exécuter les tests (OÙ), quels sont les tests que je vais exécuter (QUOI) et comment je vais exécuter ces tests (COMMENT).

Plusieurs moyens de lancer les tests (COMMENT) sont possibles :

  • L’interface Web GREENSPECTOR
  • La ligne de commande avec le Testrunner
  • La ligne de commande avec le CLI
  • Manuellement avec le Free Runner Test
  • Le plugin Jenkins

Explorer manuellement une application avec le Free Runner Test

Il est possible de réaliser des tests manuels sur votre téléphone. Le Free Runner Test est une application Android qui permet de réaliser des mesures de ressource en même temps que vous réalisez vos tests manuels.

1) Si cela n’est pas fait, créez une application depuis l’interface GREENSPECTOR.

2) Sur votre téléphone, autorisez l’installation d’application externe au Store : dans les paramètres Options Avancées > Sécurité > Sources Inconnues.

3) Accédez à la page des modules depuis l’interface Greenspector et cliquez sur le Free Runner.

4) Suivez l’installation de l’application sur votre téléphone.

5) Lancez l’application Free Runner Test une fois celle-ci installée.

6) Récupérez votre token dans vos préférences au sein de l’interface GREENSPECTOR.

7) Accédez aux paramètres de l’application (Parameters > General) et configurez les informations relatives à votre instance GREENSPECTOR (l’url de votre instance : https://[instance]/api) ainsi que votre token).

8) Revenez à la page d’accueil de l’application Free Runner Test et entrez les informations

Application Name et Version : Mêmes informations que l’appplication créée depuis l’interface GREENSPECTOR

Package name to measure : Optionnel

Test name : Définissez un nom qui représente le test de vous souhaitez faire (Achat, recherche…). Vous le retrouverez dans l’interface GREENSPECTOR.

Test Duration : Vous pouvez définir une durée maximum de test en secondes. Au bout de ce temps prédéfini, la mesure s’arrêtera automatiquement. Vous pouvez aussi arrêter la mesure en appuyant simultanément sur les touches volume bas et haut de votre téléphone.
9) Quand vous êtes prêt, appuyez sur Start. L’application Free Runner Test se met en tâche de fond et la mesure se lance.

10) Effectuez vos actions sur l’application que vous souhaitez mesurer.

11) Une fois que la mesure est terminée, l’application Free Runner Test revient en avant plan. Les résultats de la mesure sont alors disponibles dans votre interface Web GREENSPECTOR.Découvrez nos autres tutoriels :

Benchmarker une application sur le Power Test Cloud

Reading Time: 3 minutes

Cet article fait partie d’une série de tutoriels qui vont vous expliquer différents cas d’usage de la mesure.

Quelques indications sont nécessaires pour bien commencer une mesure de l’énergie et de ressource avec GREENSPECTOR. Trois notions sont à prendre en compte : où va être exécuter les tests (OÙ), quels sont les tests que je vais exécuter (QUOI) et comment je vais exécuter ces tests (COMMENT).

Plusieurs moyens de lancer les tests (COMMENT) sont possibles :

  • L’interface Web GREENSPECTOR
  • La ligne de commande avec le Testrunner
  • La ligne de commande avec le CLI
  • Manuellement avec le Free Runner Test
  • Le plugin Jenkins

Benchmarker une application sur le Power Test Cloud

Le plus simple pour débuter est d’utiliser un smartphone disponible dans le Power Test Cloud (OÙ) et de lancer un test de Benchmark (QUOI). L’avantage du banc de test est d’avoir un device tout de suite disponible et configuré, ce qui permet d’obtenir des mesures très stables. À noter en fonction de la licence GREENSPECTOR, il est possible que ce banc de test soit installé au sein de vos locaux (et pas dans le cloud). Le benchmark permet de simuler l’application dans différents états (Lancement, inactivité, mise en tâche de fond…). Pour lancer les tests, nous allons utiliser le CLI sur une application.

1) Depuis l’interface GREENSPECTOR, créez une application MyFirstApp avec la version 1

2) Récupérez votre application sous forme d’APK ou téléchargez-en une sur un site comme Apkpure

3) Téléchargez le CLI sur votre plateforme et placez-le dans un répertoire. Vous pouvez renommer le fichier (par exemple gspt)

4) Vous pouvez mettre le path du CLI dans votre path pour simplifier le lancement

5) Ouvrez la ligne de commande dans le répertoire où se trouve l’application et lancez la commande

gspt init

L’invite de commande vous demande le token. Vous le trouverez dans vos préférences au sein de l’interface GREENSPECTOR.

6) Lancez la ligne de commande qui initialise un projet GREENSPECTOR en local

gspt ipc initprojectconfiguration --application MyFirstApp --version 1

7) Lancez la commande suivante pour choisir un smartphone

gspt testbench set-environment

8) Lancez le benchmark via la commande suivante:

gspt testbench benchmark-apk --apkFiles Instagram_v33.0.0.11.92_apkpure.com.apk  --iterations 3

9) Vous pouvez voir l’état d’avancement depuis l’interface GREENSPECTOR dans jobs

10) Quand le job est fini, vous pouvez voir les résultats :

Astuce : À chaque usage du CLI, vous pouvez ajouter –help pour avoir des indications sur les options. Pour rendre plus rapide la saisie, vous pourrez utiliser les alias de commande (-a au lieu de –application par exemple).

Découvrez prochainement nos autres tutoriels :